Dans mon coin du Lot, on ne jure que par le vin de Cahors et… le canard gras. De temps en temps, j’aime bien un morceau de confit avec des pommes sarladaises, j’ai donc renoué avec l’exercice de découpe du bestiau, salage, cuisson puis conservation en attendant la prochaine récolte de pommes de terre 😉
Certes, j’ai bien un feu de bois à la maison, mais pas dans le cantou pour y cuisiner à l’aise, alors je pencherai pour la recette plus moderne de Julie Andrieu (oie ou canard, même combat !) 😉
Le magret au gros sel puis emmailloté dans un torchon qui connaîtra, par la suite, la pendaison : j’aimais bien en faire. 😉
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Tu aimais…
Plus besoin de le pendre, rien ne t’empêche de pratiquer une façon de faire plus moderne : parer le magret, gros sel pendant 10h, on le rince ensuite sous le robinet, puis on sèche au papier absorbant et on enveloppe le bébé d’un mélange de poivre, baies roses, thym, marjolaine ou herbes de Provence, le tout dans un torchon posé sur des bâtonnets de bois au dessus d’un plat pour que l’air puisse circuler tout autour, et au fond du frigo pendant 3 semaines, découpé selon les besoins en tranches fines c’est un régal 😉
Testé à Noël, ça se mange vraiment sans faim et on ne te vend pas quelques tranches pour un apéritif au prix du magret entier 😉
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J’en salive déjà. Je vais suivre ta recette et en préparer pour quelques fringales avec mes ami(e)s. 🙂 Sans oublier le verre qui accompagnera le tout.
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N’oublie surtout pas le verre, c’est pour la convivialité 😉
Le plus dur c’est d’y penser 3 semaines avant la fête, à moins d’en avoir toujours un en préparation selon le rythme des besoins 😆
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