Nous voici arrivés à la fin de l’année 2022, le défi (de m’y tenir) a bien été relevé. Le bilan du test fait état de quelques belles rencontres, sans lendemain probablement, et d’autres qui se sont avérées être de vraies prises de tête, or, je ne blogue pas pour cela !
Râleuse je suis, et le resterai, même si je ne le montre que peu dans mon quotidien (ma vie professionnelle m’a un peu polie), alors j’écris ce qui me chagrine, tout comme j’aime aussi avoir une trace de quelque chose qui m’aura émue ou dont je voudrais garder un souvenir circonstancié plutôt que vague. Ma mémoire annexe et mes humeurs sont donc l’objet de ce blog. Rivalité et / ou popularité, dans un journal plutôt intime et, à l’origine, presque à parution aléatoire, ne seront jamais ma tasse de thé.
De plus, je n’ai pas aimé quelques réflexions, peut-être maladroites, mais étroites d’esprit pour ne pas utiliser le mot qui fâche (hypersensible sur ce sujet depuis l’enfance, et bien qu’ayant mis un peu d’eau dans mon vin, je suis restée chatouilleuse au point de sévir quand je me suis aperçue qu’après avoir amusé la galerie, je commençais à agacer) que j’ai parfois lues.
Voici donc ma dernière image du Projet 52, technique non expliquée (parce que déjà fait en semaine 36) mais qui me caractérise parfaitement, hybride au c.. entre deux (ou trois) chaises, peut-être, mais entière, et c’est ce qui fait mon charme… partie de rien, je suis arrivée à pas grand-chose, mais je ne dois rien à personne…
Du Projet 52, je dirai qu’il aurait démarré en 2014, à l’initiative d’une jeune femme du Var, Milie du blog cestquoicebruit.com, sur Instagram via son groupe dédié FB, ainsi qu’au départ aussi sur Pinterest, un gros succès dit-elle, mais je ne fréquente aucun de ces réseaux. Ma’ a joué avec elle durant l’année 2014 puis a ensuite lancé son Projet 52 en 2015, pour essentiellement les auteurs de blogs, d’abord sur Canalblog, puis sur WP quand elle a changé de plateforme en 2019.
En un an, je n’ai pas réussi à percer à jour toutes les relations entre habitués, ni leur motivation profonde vis à vis du jeu en lui-même auquel ils jouent (ou pas). Certes, les relations entre plateformes sont parfois compliquées, mais j’ai tout de même observé que bon nombre d’entre eux ne veulent apparemment pas qu’on les dérange et ne renseignent pas la case « Site Web » (non obligatoire, mais tellement pratique pour pouvoir rendre une visite de politesse, avant celles de la sympathie) du formulaire à remplir pour commenter (quand ils le font), ou même, laissent mes commentaires en attente de validation et n’y répondent jamais (je sais, j’ai fait dernièrement la même chose à l’égard de la personne que j’ai agacée, évoquée plus haut, pardon !), tout cela me fait fortement douter, au point de renoncer à cette activité somme toute chronophage.
Test, certes réussi, mais négatif pour moi ! Bonne continuation à vous, et pour ne pas, le jour de la Saint Sylvestre, rester sur une note triste, Champagne pour tout le monde !
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Accordéon et dentelles au jardin 