Une pénurie prolongée de boules de graisse pour les oiseaux du ciel, au pas supermarket local (quand on commence à les nourrir, il convient de ne pas arrêter avant le printemps), m’a obligée à retourner dans la zone industrielle où j’avais découvert une magnifique œuvre d’art méconnue de la majorité de la population !





Si à l’aller je longe une prairie, au retour les maisons ont un jardin ou une haie intéressante, et ô surprise, le cognassier du Japon commence à nous offrir quelques fleurs et bourgeons, avec un bon mois d’avance et plus loin, après le double escalier et le pont, de superbes pâquerettes ont retenu mon attention. J’ai même croisé un volet faisant office de mangeoire, tout le monde n’a pas son bout de jardin ! 😉