Amour & désamour

Comment puis-je écrire ces deux mots dans le même titre ? Moi-même je ne le sais pas ! Mais pourtant c’est bien ce sentiment mitigé (cochon d’Inde) d’être passée à côté d’un coup de cœur littéraire qui restera, quelques temps avant l’oubli définitif !

La quatrième de couverture m’avait pourtant vendu du rêve, les 620 pages du livre me promettaient des heures de lecture dépaysante et je ne connaissais pas encore Henri Lœvenbruck, pourtant traduit en 15 langues…

… mais la mention « À suivre », à la place du mot « Fin », elle, ne m’inspire pas, parce que je n’avais pas vraiment envie de réviser la Révolution de 1789 (je n’ai pas du tout aimé), mais de quelque chose de plus léger, et que je ne sais pas du tout à quoi m’attendre avec les enquêtes suivantes (Le mystère de la Main rouge et L’assassin de la rue Voltaire) du journaliste Gabriel Joly.

Ah ça ira – Chant de la Révolution Française

Certes l’auteur a dû passer beaucoup de temps à compulser des archives et à lire quelques autres ouvrages de référence pour intégrer son intrigue (que j’ai aimée) dans la grande Histoire, mais non, à la simple idée de me procurer la suite de ce premier tome (ce détail n’est pas indiqué sur la couverture, et là, il y a tromperie sur la marchandise) je me revois en classe de terminale, faire mes devoirs de physique et de mathématiques en cours de philosophie pour ne pas m’y endormir ! Et même si lire le soir, dans mon lit, doit faire office de soporifique, l’ennui lui, n’est pas une option possible ! 😉

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