Rien à voir avec les lois qui régissent la poussée d’Archimède, je sais, enfin, ce que je vais faire du seul et unique poireau qui végète depuis un an au jardin !
Source de la copie d’écran : La vie quercynoise.
L’ennui, c’est que je n’ai pas de pois cassés (mais peut-être qu’en cherchant bien au fond du placard) mais des pois carrés juste à portée de ma main, je n’ai pas non plus leur recette, ni le tablier qui va bien, le mien n’a que des fleurs (assorties à une nappe ronde et ses serviettes pour ma table presque carrée), et que je vais devoir inventer l’accord parfait aux baies du sorbier des oiseaux pour un poireau encore plus maigre que quand je l’ai repiqué ! Il va sans dire que je lui chanterai aussi sa berceuse en grande tenue, reprise récemment par les Pink Floyd. 😉
Ceci-dit, je me suis penchée sur le PAT (Projet Alimentaire Territorial) financé par le Plan de Relance (de quoi ?), et j’ai cherché ce qui se cachait sous le vocable Manger d’ici Cauvaldor (pour communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne). Il m’a été donné de constater que mon neveu, producteur de fruits à coques et présent sur les marchés, n’y était pas cité (il est vrai qu’il ne se soucie pas de sa visibilité sur internet, mais je vais le lui signaler), quant à la publication de Bio 46, seule est disponible celle de 2020, pour les adresses les plus récentes, consulter la carte interactive sur leur site, qu’il faudra chercher parce qu’elle est bien cachée (et dont je n’ai pas besoin parce que je connais les maraîchers vignerons qui font du bio dans le sud, que le vin n’est pas l’essentiel de mon alimentation, d’autant plus que je préfère acheter celui du nord du Lot pour ne froisser aucun de mes voisins).
Vivre à la campagne se mérite ! 😉
ça m’a l’air bien compliqué cette histoire…
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C’est la mode du manger local, tout partirait d’un bon sentiment, permettre au consommateur de trouver des producteurs autour de chez soi… mais entre en jeu le copinage et d’autres façons de détourner insidieusement le projet, alors j’ai eu besoin de railler un peu l’atelier de velouté poireau-pois cassés.
Mais en même temps j’étais contente de retrouver mon monde habituel au réveil ce matin d’où l’allusion au sorbier sur laquelle je ne m’étendrai pas, j’ai une taupe savante en embuscade !
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Mdr pardon mais je n’ai pas compris grand chose à ce qui se cache sous ces sigles.
Quant à ton poireau, il va peut être te donner une fleur qui te donnera quelques graines donnant elles-mêmes quelques poireaux moins malingre. En tout cas bien que maigrichon, il est costaud et a survécu à l’hiver. Belle robustesse 😀
Bon fin d’après midi Agathe
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Il faut avoir fait les grandes écoles pour suivre avec les sigles ! Pour le poireau, je ne suis pas sûre qu’il ait la force de fleurir, je crois qu’il était auvergnat (il n’a rien donné non plus en Corrèze) et que les terres occitanes sont trop chaudes pour lui ! ♥
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c’est pas un hercule poireau et en plus il est radin 😁
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