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C’est un peu en courant (j’ai d’autres obligations) et sans vous parler du courant on ne peut plus variable de notre rivière bien-aimée à peine capricieuse, ni du courant d’air passablement violent qui a endommagé la couverture de la piscine de ma voisine du Nord, que je posterai la photo de ce samedi, parce que si nous avons beaucoup attendu (et craint qu’elle ne parte pendant trop longtemps) de la fée électricité pendant l’hiver qui se termine, en nous rendant, subitement, compte que toutes nos ressources étaient bien moindres que ce que les professionnels du secteur voulaient nous le faire croire…
… il est quand même des choses que je ne m’explique pas dans le fonctionnement d’Enedis dont les sous-traitants ont souvent été mis en cause dans les journaux pour avoir fait, un forcing parfois trop musclé pour nous équiper du compteur-espion Linky, et ce, alors même que nous avions un modèle plus récent que celui-ci…
… situé à l’extérieur d’une maison, dans la rue et à hauteur d’homme, exposé sans une quelconque protection aux intempéries (j’ai dans mes archives un cliché où l’on voit qu’il manque carrément un morceau de zinguerie, juste au-dessus)… et ce, depuis des lustres car ce modèle n’existait déjà plus quand je suis arrivée sur la commune en 2008 ! Quant à l’installation ci-dessous, elle est en zone inondable, à peine au-dessus du sol ! Nous vivons dangereusement et ce n’est pas le seul paradoxe dans notre société de consommation ! 😉
Bon samedi à vous ! ♥
Il n’y a que deux possibilités, ou je reste chez moi et la contemplation de l’envers de décor de la grande rue (une petite idée => ici), un jour de pluie, déprimerait le plus endurant devant la négligence ou le défaut d’entretien manifeste de ce que les touristes ne verront jamais…
… ou je sors de chez moi et je vais admirer le coucher du soleil dans l’espoir de voir le fameux rayon vert (qu’il soit ou non signé Éric Rohmer ou bien Mylène Farmer) et là, les jours fastes, quand la rivière nous offre son calme le plus plat, mon décor de rêve s’affiche à l’envers dans son incroyable miroir ! 😉
Bon samedi à vous, je vais très bientôt (si tout va bien) aller contempler le prochain rayon sillon vert dans mon jardin, j’ai enfin semé mes petits pois ! En attendant, portez-vous bien ! 😉
Selon le calendrier d’Oth67 reproduit ci-dessous…
… voici ma copie du mois de mars ! 😉
Lyon Saint-Exupéry, un petit matin de fin-octobre, après un trajet en bus de plus d’une heure depuis l’Ardèche… le transport en commun se mérite !
Allons commenter le billet du jour d’Oth67 pour y laisser le lien de ma publication et aller voir celle des autres participants ! Bonne journée à vous ! ♥
La photographie d’Image sans paroles d’hier datait du samedi dans l’après-midi. Il avait plu toute la nuit (et pas qu’un peu), et la journée n’a été qu’à peine moins humide. Comme le vendredi avait aussi été pluvieux, j’avais donc décidé d’aller promener mon parapluie dans le but secret, non avoué, d’avoir un beau cliché de la montée des eaux, vue de face… Mais notre rivière est imprévisible, elle préfère sortir de son lit en catimini, sans témoins gênants, de préférence quand les honnêtes gens dorment, et c’est ce qu’elle a fait, une fois de plus ! 😉
Dimanche, la Cale n’était plus praticable. L’escalier sur lequel j’avais pris la photo de l’affluent (amont et aval) qui alimentait la maison du pontonié (photographiée ici, lire les commentaires), quasiment à sec la dernière fois que j’étais passée par-là (ce n’est pas sa faute, mais celle d’un captage en amont) est inaccessible, il faut les cuissardes pour traverser la rue et y accéder et l’eau arrive jusqu’aux platanes ! La maison aux volets fermés est celle que l’on m’a tellement vantée (pour me la louer) que je me suis méfiée, à juste titre, c’est la première qui prend l’eau dans le village, à chaque crue, suivie par celle à l’escalier en métal sur sa gauche, puis par celle sur sa droite vers les arches qui porte une plaque signalétique (1897, à voir => ici, il faut emprunter l’escalier de pierre et tendre le bras pour l’immortaliser) d’une crue plus que centenaire, remarquée en son temps… les volets bleus fermés de droite sont ceux du salon (je connaissais une des locataires temporaires) avec vue sur la rivière et son magnifique coucher du soleil…
La décrue était amorcée, mais je suis fort aise d’avoir vu, samedi, de loin, un héron accompagné de 3 aigrettes qui ne s’est pas manifesté le dimanche parce qu’il y avait trop de monde, d’avoir constaté que les cormorans n’avaient plus assez de poisson et avaient quitté nos berges, et que le printemps pouvait arriver à son heure, il suffit de patienter et de travailler son jardin plus haut sur la colline ! Bonne semaine à vous ! ♥