… pour Piotr Banach et Marcin Żabiełowicz qui, plus de 20 ans après leurs débuts avec Hey, jouent encore un titre extrait de leur 1er album Fire, dans leur formation actuelle BAiKA (abréviation de Banach et Kafi) avec une nouvelle Katarzyna (K. Sondej née Figaj, dite Kafi), mais plus jeune…
D’ailleurs pourquoi dis-je « la » puisqu’il s’agit d’un mâle « coupé sport » ?
Donc, Fripouille, arrivé tout seul devant ma porte à l’heure où je fermais les volets sur rue, un soir d’octobre 2015, grandes oreilles, haut sur pattes et passablement maigrichon (âge estimé entre 4 et 6 mois), n’avait encore jamais vu de sa vie le spectacle gratuit et fugace offert par Dame Nature ce matin… et voir le toit du préau par lequel arrive ses ennemis un peu blanchi par de la neige froide et humide, sur fond de bruits du voisin rentrant les « bains de soleil » oubliés sur sa terrasse, ne l’a pas enthousiasmé, loin s’en faut, pour sa promenade de santé… il a effectué un repli stratégique devant le poêle à bois allumé avant de se faire oublier sur le canapé puis de prendre discrètement la poudre d’escampette vers son confortable repaire nocturne (presque secret) dans ma chambre !
Temps idéal pour faire un Tour du Monde, non, pas en quatre-vingts jours, pas plus en ballon et en vingt jours d’ailleurs, j’ai donc découvert, grâce à la lecture du billet sur Fairuz publié sur le site a2pasduliban.com, un artiste (à mi-temps) libanais, vivant à Dubaï, connu, depuis sa prestation impromptue et mémorable de La lettre à Elise à l’aéroport de Prague en 2014 (filmée par Rami El Ghoussainy), sous le pseudonyme de ThePianoMaan, voici Maan Hamadeh assisté par le guitariste ami Wael Al Wirr, dans une version encore plus hispanisante que l’original par Abd El Halim Hafez de la chanson El Toba (« Repentir », paroles d’Abd El Rahman El Abnoudy et musique de Baligh Hamdi)… du grand art et sans partitions s’il vous plaît ! 😉
Adepte convaincue des médecines naturelles, Rika Zaraï était aussi une chanteuse à succès dont Casatschok, ce tube très joyeux qui avait suscité de nombreuses vocations de danseurs russes (en costumes) pour les fêtes de fin d’année scolaire dans les écoles…
C’est l’image que je veux garder d’elle 😉
Prenez soin de vous et passez un bon Noël (un DVD choisi et un bol de pop-corn aux épices de Noël c’est aussi très bien comme programme si l’on est isolé) ! ♥
… de la chorégraphe Nadezhda Sergeevna Nadezhdina ont fait le tour du monde et sont repris par toutes les compagnies, je ne m’en lasse pas et ne sais toujours pas comment elles font pour se déplacer (non, le plateau ne tourne pas) sans que les plis des robes longues ne bougent en dehors de la volonté des danseuses de la troupe Beryozka sur l’air de la chanson folklorique : Un bouleau se tenait dans le champ 😉
Et si les poupées russes ne suffisaient pas à un spectacle de Noël virtuel, on peut aussi regarder les plus virils danseurs de sirtaki (danse créée en 1964 par Jean Vassilis, alias Jacques Suissa) sur la musique signée Míkis Theodorákis du film Zorba le Grec (de Michael Cacoyannis) dans une chorégraphie d’Igor Moiseev pour changer de celle de Giórgos Proviás.
Père Noël, j’aimerais bien les mêmes chaussons, ils plairaient bien à mon chat 😉
Dernière proposition, la Fantaisie d’hiver « Blizzard », ballet d’Igor Moiseev (où l’on retrouve les pas flottés), pour un Noël blanc plein de poésie, au milieu des sapins sans neige… 😉
Merci à Internet qui nous permet une évasion en toute sécurité, chacun chez soi ! ♥
C’est ce que vous propose le Trio Familijne Myszkal de Rymanów Zdrój (powiat de Krosno, voïvodie des Basses-Carpates) qui réunit ici 3 générations autour d’une même passion pour les musiques du début du Moyen Âge, de la Renaissance et baroque : Robert Myszkal à la guitare (accessoirement au luth, à la harpe cosaque « bandura » et aussi artiste peintre), le père d’Helena Myszkal au violon et le grand-père de Mikołaj Kantor au violoncelle, tous peuvent aussi chanter…
Le nom de Dolly Parton, croisée dans un film de 2019, m’évoquait vaguement quelque chose d’autre que Hello, Dolly !, une recherche m’a fait redécouvrir cette pépite pleine d’optimisme (elle avait réussi à sauver son mariage, selon la légende) : Jolene, un tube auquel elle doit toute sa bonne fortune, datant de 1974 (ce n’est pas vraiment d’hier)…
… en version live de 2014, comme quoi, la « country » conserve, tout comme le bon air du Tennessee (et peut-être aussi un peu la chirurgie esthétique) 😍
C’est ainsi que la chanson Jolene est devenue ceci :
« Vaccine, vaccine, vaccine, vaccine I’m begging of you, please go in my arm Vaccine, vaccine, vaccine, vaccine Please just keep me safe from Covid harm. »
… c’est selon, car chacun y trouvera du grain à moudre et Renaud (s’il n’est pas en déprime profonde) doit être bien content de la reprise de sa chanson Hexagone, voici la découverte de l’année : Les Goguettes ! 😉
Les paroles sont sous la vidéo dans YT, clin d’œil à tous ceux qui pensent réellement à leur bilan 😉
… n’a rien à voir avec Imagine (1971), le tube planétaire de John Lennon et du Plastic Ono Band, c’est la chanson gagnante de Move the World, Junior Eurovision Song Contest Poland 2020, interprétée par Valentina…
… concurrente non retenue par Jenifer, M. Pokora et Patrick Fiori, le jury de The Voice Kid 2016 diffusé en 2017, que sa chanson italienne n’avait pas convaincu. Sûrement déçue, elle ne s’est pas découragée et a rejoint en 2018 les Kids United où elle a participé à l’enregistrement de l’album Au bout de nos rêves, puis à celui de L’hymne de la vie en 2019.
Suspens…
Sa persévérance a payé hier soir, où sa bonne humeur a séduit à la fois jury et public « on line », bravo à elle ! Ceux qui ont raté le concours virtuel peuvent toujours voir la vidéo sur le site de l’Eurovision Junior.
Ma préférence allait à la poésie de la représentante du Kazakhstan, j’ai aimé les costumes fleuris et masques des jeunes géorgiens, j’ai adoré l’originalité sonore affichée par l’Espagne et apprécié le patriotisme de la chanteuse polonaise qui a revêtu une robe blanche puis rouge dans la même prestation, mes félicitations aux seuls concurrents masculins du concours, pour la Serbie et l’Ukraine…
Mais sous ce même titre de Czarny Kot il y a ce petit bijou très kitch par le groupe vocal féminin Alibabki actif à Varsovie entre 1963 et 1988 😉
Pour la petite histoire, le chat noir s’appellerait Théophile (comme T. Gautier chez nous, qui a écrit bon nombre de nouvelles fantastiques en plus du Roman de la momie -un autre de mes dadas- et de ses autres activités) 😉