Avec le retour des beaux jours, nous avons un nouvel ennemi, pas seulement urticant, qui s’intéresse à nous de très près : le moustique tigre qui gagne sérieusement du terrain en métropole.

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Plus petit que l’autochtone, il frappe le jour et non la nuit, et suprême raffinement, il avance masqué est totalement silencieux.

Pour éviter sa prolifération, dans les recommandations pour les jardiniers on peut citer : pas d’arrosoir plein d’eau en attente, pas de soucoupe sous les pots de fleurs ni à disposition des oiseaux, récupérateurs d’eau de pluie avec couvercles, ventilateur sur les terrasses, diffuseurs dans les pièces et anti-moustique sur la peau… je suis d’accord, mais, dans ma rue, sauf en cas de grande sécheresse il y a toujours des eaux de ruissellement qui stagnent, plus loin il y a deux sources à ciel ouvert, le combat semble presque perdu d’avance !
Pour signaler la présence d’Aedes Albopictus (éventuellement vecteur de maladies tropicales comme le chikungunya, la dengue ou encore le zika), aller sur le site : signalement moustique, sur lequel vous trouverez la carte de répartition de l’insecte (dernière mise à jour 20 mars 2018), vous pourrez savoir s’il a déjà été observé sur votre commune et enfin avoir le détail des mesures de protection. Les répulsifs recommandés depuis 2016 sont à télécharger => ici. Enfin le Ministère de la Santé a fait éditer un dépliant d’information à télécharger en .pdf.