… où se trouve l’ancienne église gréco-catholique (et non orthodoxe comme il est souvent indiqué, même dans des documents très sérieux, les croix n’ont qu’une seule barre transversale et n’en ont pas d’inclinée) en bois debout Saint Dimitri dont vous avez vu la photo (prise en août 2006) dimanche dernier.
À la veille de l’hiver, promenade donc en janvier 2017 et, surtout, retour sur un sujet déjà abordé => ici, concernant un bijou d’architecture en bois, visité en 2006, dont l’avenir était compromis par un manque d’entretien des décennies durant, consécutif à un acte de vandalisme juste après la seconde guerre mondiale et à l’exil forcé, pour les survivants à ces temps difficiles, des populations minorités locales.
Des travaux de rénovation des trois dômes y ont été entrepris en 2017 et en octobre de la même année, voici la vue de l’église Saint Dimitri (dont j’ignore encore le devenir) sans bâche ni échafaudage, le petit pont de bois sur le Jawornik lui, nécessiterait une réparation d’urgence si l’on ne veut pas se mouiller les pieds en traversant le gué…
Notre moteur de recherches préféré fait référence aux 126 ans de la dame de fer parisienne… voir la vidéo. … mais je lui préfère cette image 😆 … il n’y a pas de file d’attente pour y accéder ! Mais je vous offre quand même le doodle réalisé par la dessinatrice Floriane Marchix. 😉
… film réalisé conjointement par le britannique Ken Annakin, le hongrois (naturalisé américain) Andrew Marton, le suisse Bernhard Wicki et les américains Gerd Oswald et Darryl F. Zanuck, d’après le livre éponyme du journaliste irlando-américain Cornelius Ryan, sorti sur les écrans français en 1962…
… est à l’origine d’une part de la célébrité de la remarquable (par sa construction de style roman débutée au XIème siècle et achevée en style gothique quatre siècles plus tard) église Notre-Dame de l’Assomption (aussi connue sous le nom de N-D de la Paix), classée monument historique dès 1840, à Sainte-Mère Église dans la Manche.
Dans un département dont l’économie repose sur le tourisme, le jeu de piste semblerait une valeur plus sûre que l’amour des vieilles pierres, puisqu’il en existe un dans mon village que je n’ai pas testé.
Par contre, avec ou sans jeu, la vue (sur la photographie illustrant l’article du journal) de la Bave devant le lycée, de l’église N-D des Récollets et de cette maison restaurée par un architecte qui a été mon quotidien à Sent Seren pendant mes 3 ans de scolarité est à jamais gravée dans ma mémoire !
… signée Tomasz Gomoła, sortie sur les écrans polonais dans sa deuxième version, en mars dernier. Ce film fait revivre la capitale d’avant sa destruction à 80% lors de la seconde guerre mondiale… une petite merveille qu’il me plairait de voir distribuée en France 😆