Dans ce domaine, il y a de tout, à boire et à manger, ainsi que de sacrés allumés, mais il faut bien de tout pour faire un monde et surtout pour plaire à un maximum d’amateurs divers et variés !
Certes, ce n’est que lorsque l’œuvre de sa vie a été vandalisée que j’ai eu connaissance de l’existence d’un artiste ariégeois, monomaniaque et plutôt singulier, du nom de Claudius de Cap Blanc.
Source de la copie d’écran : La Dépêche
Mais le site du Prat d’Albis (Ariège), à 1500m d’altitude, étant très certainement moins couru que le Palais Idéal du facteur Joseph Ferdinand Cheval à Hauterives (Drôme), et hormis le fait qu’il ait choisi de s’exposer (contrairement à son illustre prédécesseur) sur un terrain qui ne lui appartenait pas, je ne comprends pas que l’administration ait juste, une nouvelle fois, choisi d’ignorer l’artiste plutôt prolifique (courrier dans son FB) qui ne dérangeait certainement pas grand monde (un de mes frères randonne régulièrement dans ce coin, il ignorait et son existence et celle de ses sculptures)…
… alors qu’il aurait été assez simple de proposer au chantre de la métahistoire une alternative où il aurait pu donner libre cours à son exaltation sans en arriver à cette fin violente (j’ignore quand a été réalisée la vidéo ci-dessus où il prononce une phrase qui pourrait être prémonitoire). Parce que, n’en déplaise à quelques jaloux et autres pisse-vinaigres, il se pourrait bien que l’on regrette, un jour, son apparente folie et que sa cote monte, telle celle de l’œuvre de l’ermite local lotois, Jean-Marie Massou qui entre au musée deux ans après sa mort.
Mise à jour du 21 novembre :
Source de la copie d’écran : La Dépêche
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