Pourquoi ? Parce qu’il arrive juste pendant le premier de nos sacro-saints ponts du mois de mai, alors que la météo n’est pas vraiment de la partie et que la grogne sociale n’en finit pas de nous empoisonner la vie quotidienne (1/2h de coupure d’électricité hier soir…) !
Un bain de foule au cinéma, que ce soit à Figeac ou même à Cahors, ce n’est pas ma tasse de thé, pas plus que le défilé du 1er mai, et je ne fais pas partie non plus de Vigilance OGM 46, mais j’avoue que le titre de ce documentaire suscite ma curiosité, alors peut-être que je vais le visionner tant qu’il est disponible ? Si cela vous tente, c’est par là => La fabrique des pandémies, et, officiellement, sur le portail des Outre-Mer, jusqu’au 22 décembre 2023.
La guerre de l’eau a bel et bien commencé. Des instances qui nous sont bien supérieures ont mis le grappin sur la ressource et nous devons payer les pots cassés. Les conséquences sur notre santé, elles, deviennent visibles tout en entretenant la pollution des nappes phréatiques et des circuits de traitement, la distribution de l’eau devient un commerce malheureusement de plus en plus lucratif, il ne faut pas l’oublier !
C’est ce à quoi je pensais hier soir (avant de lire l’article du journal) en regardant l’eau dans mon évier pendant que je lavais la vaisselle du jour… celle que j’ai envoyée dans les canalisations d’eaux usées est ce que l’on appelle de l’eau grise… mais grise, elle l’était déjà (par sa couleur) quand je remplissais mon bac de rinçage, parfois elle est plus marron que grise… 😦
Merci à Remimage dont les billets (L’eau nous bassine, et Boire l’eau du robinet) ont confirmé ce que je savais déjà, à savoir que l’on nous ment perpétuellement et pour tout, dans tous les domaines… de quoi devenir paranoïaque !
L’an dernier notre gouvernement s’est penché sur la valorisation des eaux grises => Mieux partager la ressource en eau : le Gouvernement permet de nouveaux usages des eaux usées traitées. Cela me laisse rêveuse, mais ne me dis pas s’il vaut mieux, pour sa santé, boire de l’eau ou du vin, une question que je ne suis pas la seule à me poser !
Copie de Bourvil – L’eau ferrugineuse
Quel mal choisir, en effet, entre l’eau dont les résidus flinguent le pancréas et le picrate qui donne le foie gras ? D’autant plus qu’une fois le pancréas mort, on devient forcément diabétique et que l’on entre alors dans une dépendance à l’industrie pharmaceutique. On nous fera, bien sûr, croire que c’est notre dépendance à l’industrie agroalimentaire et aux sucrières qui en est responsable (voir mon billet sur la sécurité sanitaire)… alors que les méfaits des pesticides présents dans l’eau sont passés sous silence, non étudiés, voire occultés ! Elle n’est pas belle notre vie ?
Et que penser d’un hôpital qui reçoit en urgence un retraité chez qui on vient de diagnostiquer un diabète de type 2 (le même que celui induit par la présence de certains métabolites indésirables dans l’eau de boisson, carte vitale mise à jour une semaine avant) et à qui, devant les mauvais résultats de son bilan sanguin après une appendicectomie, on propose comme solution une injection d’insuline alors que l’on vient de le gaver de glucose en perfusion ? Progrès de notre société de consommation ou régression de nos facultés mentales, mais une chose est sûre nous sommes bien tous tombés sur la tête…
Difficile d’être très optimiste quant à l’évolution de notre monde bipartite (l’élite à qui tout est dû et la piétaille esclave ou chair à canon, c’est selon) ! Alors n’attendez pas de moi de jolies lignes colorées pour représenter ma vision du futur, qui sera dans une urne, et, si possible, avec les miens six pieds sous terre, si non au pied d’un rosier me conviendra ! Point de caisson réfrigéré pour y attendre, et à grand renfort d’énergie consommée, les progrès de la science pour une remise à neuf et un deuxième tour sur une terre épuisée, pas plus que de bunker anti-radiations équipé d’un garde-manger avec six mois de provisions et du générateur qui va bien, de toute façon, à aller droit dans le mur, il vaut mieux que ce soit rapide et définitif, ce qu’il y aura après ne m’inspire pas vraiment !
Que le tsar appuie sur le gros bouton rouge ou pas, qu’un astéroïde de passage nous pulvérise ou pas, les nantis qui auront été les champions du survivalisme dans leur bunkers, auront droit à ce genre de paysage autour des ors de leurs palais et se débrouilleront, en l’absence de la piétaille décimée, avec l’intelligence artificielle pour remettre en état la poubelle que la course au profit en place depuis quelques générations de plus malins que les autres aura contribué à remplir ! Et de mon petit bout de la lorgnette, cette petite poubelle ne me plaît pas pour un avenir radieux et je déplore que nos jeunes aient moins de chance dans leur vie que ma génération en aura eu !
Vous avez sûrement une meilleure vision de l’avenir que moi, et ce triste constat (et spectacle) qui n’est absolument pas un poisson, ne m’empêchera pas de vous souhaiter un bon samedi !
C’est sûrement le signe de la réactivité, de l’anticipation et de la réflexion du personnel chargé des contrôles en matière de santé. Curieusement d’ailleurs, après avoir retiré du commerce tout ce qui était stérilisé à l’oxyde d’éthylène, personne n’a pensé que l’industrie alimentaire pourrait le remplacer par le 2-chloroéthanol, son précurseur et un polluant organique halogéné, que l’on n’utilisait plus parce sa production avait une incidence non négligeable sur l’environnement avant de s’avérer être aussi toxique pour les humains.
On dira qu’à l’est, il n’y a, malheureusement, rien de nouveau…
Liban : une partie des silos du port de Beyrouth s’effondre après un incendie • FRANCE 24
… il n’y a pas eu de coupable et des silos s’y enflamment spontanément avant de s’effondrer dans l’indifférence générale (sauf pour les familles des victimes)… 😦
Franchement, je ne suis même plus sûre de vouloir m’en offrir une douzaine pour moi toute seule (mon entourage ne voulant plus entendre parler d’un quelconque fruit de mer), et, d’un autre côté, avec tout ce que l’on envoie dans les océans, il n’y a aucune raison d’être surpris par une telle information ! 😦
Je n’habitais plus Toulouse depuis 1985, mais comme c’était la ville de mes 20 ans, je n’ai jamais oublié mes années d’apprentissages divers en ses murs ! 😉
Souvenir de mes escapades de fin de semaine en Ariège où j’avais un point de chute réconfortant au pied du Quié, le retour à la ville se faisait en bus, nuit tombée, et traversait, par la route d’Espagne, cette zone industrielle dont je ne savais presque rien sur ce que l’on y faisait, hormis les confidences de mon voisin de jardin, retraité à la santé chancelante de l’Onia-APC (pour Azote et Produits Chimiques), devenu par la suite AZF (Azote et Fertilisants), mais dont la tour en tôles ondulées et les fumées denses et diversement colorées de ses cheminées, bien éclairées (3×8 obligent) ne m’inspiraient aucune confiance. Combien de fois me suis-je dit, sur mon siège, derrière la vitre : le jour où cela va péter, ça va faire mal?
Et voilà que 10 jours après le 11 septembre fatidique des Twin Towers au World Trade Center en Amérique, une violente explosion fait des victimes et d’énormes dégâts à Toulouse, confusion totale sur place et communications coupées, personne (décideurs ou population) n’avait pensé (mis à part quelques « illuminés » de mon espèce) que cela pourrait se produire un jour…