Un paradoxe bien français

C’est juste une constatation, car il y a bien longtemps que je sais que la pharmacie est un commerce et que l’industrie pharmaceutique n’est pas une entreprise philanthropique…

Source de la copie d’écran : La Dépêche

Bien évidemment pour celle ou celui qui se sera cassé le nez sur la porte de son pharmacien préféré, ce mouvement d’humeur est difficilement compréhensible, mais les habitudes françaises en la matière de la gestion de leur santé demanderaient très certainement d’être un peu recadrées pour éviter d’en arriver à ces extrémités…

Julien Sfeir – Je jette des boites

Il me plaît bien ce pharmacien qui appuie, sur un air de Oppan gangnam Style, là où ça fait mal, c’est-à-dire notre manie de faire des stocks de médicaments qui nous n’utilisons pas. D’ailleurs on devrait peut-être rayer de notre vocabulaire la petite phrase c’est remboursé par la Sécu, cela permettrait aux hypocondriaques de guérir de leur travers de devoir jeter les boîtes non utilisées et donc gaspillées, qu’ils n’auraient jamais thésaurisées s’ils avaient dû en régler le prix normal en vigueur hors de nos frontières !

Portez-vous bien ! ♥