Réconfort de saison…

Qu’elle soit en pâte levée de blé ou moulée à la farine de maïs, on ne saura pas laquelle sera servie à moins d’avoir posé la question à la réservation de sa table ! C’est un vrai régal et j’écris cela en écoutant un morceau de kora malienne sur une radio des Carpates, j’aime la diversité et le mélange des genres ! 😉

Source de la copie d’écran et par ici les bonnes adresses : La vie quercynoise

… et c’est sur un mix de musique indienne avec veena accompagnée d’un grand ensemble avec piano que j’ai le plaisir de vous dire que l’adresse où je peux en manger le samedi est restée secrète (la salle trop petite affiche toujours « Complet ») et c’est très bien comme cela ! 😉

Bon mercredi à vous ! ♥

8 réflexions sur “Réconfort de saison…

  1. J’ai fait une mique une fois, mais sans références, je n’étais jamais sûr si j’ai fait du bon travail. C’est le grand problème pour moi — la moitié des choses que je fais, je les reconnais. L’autre moitié, je suis aussi aveugle qu’une chauve-souris !

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    1. Il te serait peut-être plus facile de reproduire un plat que tu aurais déjà dégusté dans le bon contexte… Dommage, tu as de nouvelles responsabilités, tu ne pourras pas prendre dans l’immédiat une année sabbatique pour faire un tour de France culinaire des départements ou même simplement des régions, tellement le découpage du territoire a été mal fait ! 😉

      La mique à la farine de maïs se fait avec les carcasses de canard et non du porc salé (lire mon commentaire explicatif de la photo du journal en réponse à Liza de Grèce), et les mêmes légumes. Elle se présente différemment, parce que l’on fait une farce avec la farine, de la graisse de canard, du pain coupé en dés et des œufs que l’on divise en boules déposées dans une feuille de chou (blanchie au préalable pour être malléable). Chaque boule sera ficelée un peu comme une paupiette et cuira dans le bouillon, suivant l’appétit de l’invité, elle sera coupée en 2 ou généralement pas ! 😉

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    1. Sur la photo du journal, tu as un plat à base de chou, avec des carottes, des pommes de terre, des navets, des poireaux et un effiloché de petit salé (de la palette du cochon de la maison conservée dans du sel, qui a passé une nuit dans de l’eau pour être dessalée)! Derrière, tu as l’assiette de présentation de la mique, qui est une boule de pâte levée qui a cuit, non pas au four, mais dans le bouillon du plat auquel elle donne son nom. Elle est présentée à part pour pouvoir être tranchée et disposée dans l’assiette de tous ceux qui sont présents autour de la table ! Le plat convivial par excellence ! 😉

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  2. De mes grands parents polonais, je connais quelque chose qu’ils appelaient des kluskis (orthographe non garantie). Une pâte molle non levée dont on prélève des morceaux à la cuillère à soupe et qu’on fait cuire dans le bouillon.

    Il y avait aussi des kluskis na parze, une pâte levée qu’on cuisait à la vapeur pour accompagner les plats en sauce.

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    1. La seule grand-mère que j’ai connu préparait du chou farci et des gnocchis, ma mère savait faire les faworki… heureusement que ma marraine m’a fait connaître les beignets (pączki) à la confiture, parce qu’en cuisine polonaise, il m’a fallu attendre, outre la cuisine des restaurants polonais parisiens que je fréquentais, d’aller au pays pour la découvrir réellement un peu ! 😉

      Bon après-midi à toi ! ♥

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  3. Je découvre ce plat dont el nom m’as tellement intrigué que j’ai chercher sur le net ce que c’était. Bien vu qu’il y avait les légumes mais ce carré blanc en haut je me demandais ce que c’était, maintenant je sais. Bises bon mercredi

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