Qu’importe le flacon…

pourvu qu’on ait l’ivresse, les humains ne seraient pas les seuls concernés. Les cervidés auraient un petit penchant, au printemps, pour certains bourgeons fermentescibles qui les désinhiberaient vis à vis des humains.

Ce n’est pas un gag, ni la première fois que j’en entends parler, et, une fois n’est pas coutume, je tiens à féliciter Jean-Luc Garcia, le signataire de l’article dans La Dépêche, qui nous a pondu un papier à la fois très sérieux (c’est une réalité scientifiquement vérifiable), mais aussi humoristique jusqu’à l’hilarité, tellement que, quand je l’ai lu, la pensée de l’instant fut que j’aurais aimé avoir le même talent… 😉

Source de la copie d’écran : La Dépêche

Ma réputation va peut-être en prendre un sacré coup ! Je demande d’ailleurs, à ceux pour qui le sujet est sensible, de me pardonner de les induire en tentation, alors que je peux en rire, parce que je n’ai pas passé le WE à m’arsouiller, même si je donne l’impression de bien connaître le sujet, et que j’ai surtout la chance de préférer le kéfir ou mes jus de fruits improbables (le dernier en date : un ananas, un citron et un bon morceau de gingembre mixés avec juste ce qu’il faut d’eau) à toute autre boisson addictive (ayant banni de la maison celles que je préfèrerais).

Alors, si en rentrant du travail, vous vous servez un apéritif au lieu de préparer votre repas, il n’est pas encore trop tard pour redresser la barre, parce que, malgré une cuite du siècle phénoménale, primo, votre lit ne tanguera pas plus que d’habitude, et secundo, outre un mal au crâne carabiné au réveil, les problèmes que vous vouliez oublier n’auront pas disparu comme par enchantement. Il vous faudra d’ailleurs les affronter directement et vous seuls pouvez le faire ! Notre assurance santé met quelques outils (dont le tableau ci-dessous) à notre disposition en cas de problème, et c’est => par ici. 😉

13 réflexions sur “Qu’importe le flacon…

    1. À supposer, je dis bien supposer, si, par le plus grand des hasards, le pare-buffle de l’automobiliste qui passait inopinément sur ladite route, avait résisté au choc et pas envoyé son propriétaire dans un arbre, et que ce soit le bestiau erratique qui serait sérieusement estourbi par le contact avec icelui (homologué, bien sûr), et que le conducteur ait de la place dans son congélateur, crois-tu, que la viande de l’animal ivre serait naturellement marinée et prête à cuire ?
      Nous avons quand même de la chance, ce concepteur de véhicules qui font peur habite de l’autre côté du Massif Central, mais un de ses derniers véhicules serait pas mal pour cet usage…

      😉

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