16 réflexions sur “Histoire sans parole # 121

    1. Malheureusement, compte-tenu de sa situation, il ne choisit pas ses éventuels revendeurs…
      Et oui, l’état-providence qui maintient la paix sociale à grands coups de mesurettes de m… a encore sévi, la propriétaire de ce carton avait ouvert une retoucherie et vendait de la laine et quelques bricoles pour payer le loyer de sa boutique, mais elle n’était déjà plus sur place toute la semaine quand nos banquiers en poste ont commencé à parler de cette mesure, il se peut aussi qu’elle n’ait pas eu l’agrément et elle est partie définitivement (la maison a été vendue) d’où les ordures lâchement abandonnées… voilà l’histoire que raconte ce carton !
      La question est, est-il plus rentable de prévoir une intervention d’une couturière dans les écoles pour apprendre le minimum syndical à nos chères têtes blondes en matière de reprisage des chaussettes et raccourcissement d’un vêtement, que de créer une filière avec des professionnels agréés qui ne pourront pas vivre décemment de leur boulot si (et parce que) les indemnisations mettent du temps à arriver (et de toute façon seront remises en question, voire supprimées au prochain changement à la tête du pays, parce qu’elles auront été un flop total).
      Bon dimanche à toi ! ♥

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    1. Non, les lunettes ne remplacent pas le respect d’autrui, nos éboueurs sont aussi des humains, et le sens civique, le cas est désespéré. La seule fois où j’ai voulu aller chez elle j’avais trouvé porte close, alors j’ignore si elle avait le sens du contact dans son commerce… Bonne fin d’après-midi à toi ! ♥

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  1. Où sont passés ses blancs moutons ? 

    Nous sommes dans une société de consommation où tout un chacun achète, jette remplace. Y aurait il une prise de consicence qui se profile à l’horizon ? Difficile d’y croire dans ce monde où les lobbies sont rois.

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    1. Ils sont à Luzech depuis le WE dernier, occupés à leur action de défrichage ! 😉
      => https://www.tourisme-lot.com/offres/transhumance-rocamadour-luzech-2024-luzech-fr-925489/
      Il est certain qu’il était plus facile de repriser des chaussettes un peu épaisses que celles en matière synthétique trop fine, même chose pour les vêtements, les fibres naturelles sont plus faciles à travailler que tous ces vêtement non faits pour durer dont on nous inonde…
      Mais demander cela à des artisans payés avec les subsides de l’état est-ce bien viable ? C’était la seule couturière, avec des horaires fantaisistes et j’ignore si le cordonnier du village voisin est toujours en activité, d’après les données du lien que je n’ai pas étudié de près, ceux qui ont obtenu leur agrément ne sont pas légion… pour moi, le problème reste entier. La mesurette gouvernementale ne peut pas changer la tendance de la fabrication à l’autre bout du monde dans des conditions inhumaines et par des enfants-esclaves qui manipulent en plus des colorants chimiques hautement nocifs, pour flatter notre besoin de paraître… 😦

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    1. Elles y sont (je leur tournais le dos), nous en avons des vertes pour ce qui est à incinérer qui doit être dans des sacs fermés, et des jaunes pour les plastiques, cartons et papiers recyclables… mais encore faut-il faire l’effort de trier…
      Bonne fin de dimanche à toi ! ♥

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    1. Non, je pense que c’est le professionnel agréé qui est rétribué, pas celui qui fait réparer ses chaussettes trouées, ce serait trop facile ! 😉
      Comme-toi, je me débrouille seule, au moins je suis sûre de ce que j’ai fait ou pas ! 😉

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