Après 3 jours de pluie en continu, hier la météo était plus clémente, mais, alors que la radio nationale annonçait la décrue, il m’a été donné de constater que le niveau d’eau avait continué de monter pendant la nuit.
La famille anglaise qui occupe la maison avec la vue sublime que j’ai refusé d’habiter ne devait pas pouvoir sortir de chez elle (même par derrière) à pieds secs… mais je suppose que des insulaires ont les belles bottes en caoutchouc qui me manquent 😉
Les photographie sont de samedi et dimanche, celle de l’arbre aux cormorans date de la crue de novembre, les feuilles n’étaient pas encore toutes tombées, leur présence a provoqué le départ des hérons qui fréquentaient ces berges il n’y a pas si longtemps encore…
Accordéon et dentelles au jardin 
impressionnant!
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Non, c’est du classique… simplement la 3ème depuis novembre, la Cale est sous l’eau, on se promène normalement devant cette fenêtre (voir les platanes hors d’eau, sur ma photo d’arrière-plan qui date d’octobre, où l’esplanade est accessible) 😉
La rivière peut encore monter, je l’ai déjà vue avec 20 cm d’eau en plus. Mais, par le passé, elle a inondé le jardin que l’on voit sur la droite de la fenêtre de la maison que l’on m’avait tant vantée, ce qui m’avait mis la puce à l’oreille (j’avais arrêté le monsieur au téléphone et lui avais demandé si elle était au bord du Lot, sa réponse avait été éloquente : Ah, vous savez !) mais même dans le jardin elle n’atteint pas le niveau des crues historiques, marquées par des plaques.
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Punaise, ce n’est pas rien ! Le Tarn est également haut et couleur chocolat au lait. Je ne suis pas allée jeter un oeil sur le Quai St Jacques, régulièrement les pieds dans l’eau.
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C’est en 2000, quand le village a fait le pari du tourisme, que les fenêtres murées par les générations précédentes ont été ouvertes à la vue imprenable et accessoirement au bain de boue enrichie aux métaux lourds 😉
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